- J’en avais déjà parlé, mais je le redis : j’adore le principe des Fermes Lufa, où une quarantaine de variétés de fruits et de légumes sont cultivées sur un toit à Montréal, sans pesticides. Les abonnés reçoivent un panier par semaine et peuvent même en choisir le contenu. Il faudrait que je me trouve quelque chose comme ça par chez moi… En tout cas, je reparle de ça parce que j’ai découvert Tagada, qui crée des paniers d’épicerie gourmets complets chaque semaine, selon différentes formules. L’idée m’a l’air excellente!
- J’ai beaucoup aimé ce reportage avec des photos montrant ce que mangent différentes familles en une semaine. Il y a d’énormes différences dans les quantités et les prix, mais aussi dans les variétés de nourriture!
- Voici un article décrivant un atelier pour initier les enfants à la dégustation. Puisqu’il a eu lieu dans le cadre d’une dégustation d’alcool (les enfants buvaient autre chose!), je comprends que certains s’y soient opposés, mais je trouve l’idée de base vraiment géniale.
- Un petit article sur le projet de loi 14 que j’ai bien apprécié.
- On le sait bien, le Premier Ministre canadien n’est pas un ardent défenseur de l’environnement. Mais là, il a enlevé le mot « environnement » du site météorologique gouvernemental, en plus de changer la couleur du fond de page de vert à bleu. Vous ne trouvez pas qu’il exagère?
- Un enseignant du cégep se vide le cœur au sujet de l’éducation québécoise aujourd’hui. Et il a tellement raison! Je vois toujours, sur ma page Facebook, la manière dont mes cousins francophones écrivent : de façon phonétique, sans distinguer un verbe d’un possessif, sans accorder leurs adjectifs, etc. C’est à faire saigner les yeux et l’âme! Et dans tout ça, le ministère de l’Éducation fait des réformes sans vraiment s’attarder sur la nature du problème et les solutions pour le régler… C’est vraiment déplorable!
- Comment découper du papier sulfurisé aux dimensions d’un moule à cake, technique qui fonctionne aussi avec un moule à pain.
- Enfin, quelques articles sur la perception des blogueurs culinaires par la société. J’ai d’abord lu un billet de Catherine Draws sur Obsessions gourmandes, Se prouver avec un portfolio - parce qu’apparemment, quand on aime tant quelque chose qu’on le fait par plaisir, on n’est pas pris au sérieux. Je pense que cela a tourné au ridicule dans le cadre d’un récent concours organisé par Urbania, qui cherchait un « passionné de bouffe au Québec » avec un vrai talent pour la communication… et qui a automatiquement éliminé les candidatures de blogueurs. Voici ce qu’Héloïse Leclerc, du blogue 180 degrés, avait à dire sur le sujet. Personnellement, je trouve absolument ridicule qu’on cherche quelqu’un qui soit passionné par la nourriture et doué en communications, mais qu’on insiste pour éliminer les gens si passionnés qu’ils communiquent sur un blogue! N’importe quoi. Un pigiste sans blogue peut être passionné, mais quelqu’un qui n’est pas professionnel rémunéré et qui n’a pas de blogue ne remplit pas vraiment les critères, non? Je ne comprends vraiment pas pourquoi c’est vu comme une tare, surtout quand c’est un beau blogue comme Obsessions gourmandes…
Dans la même veine, voici l’opinion de plusieurs blogueurs culinaires sur les attentes des restaurateurs (en anglais et en français), écrit en réponse à cet article point de vue des restaurateurs (en anglais).
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