- Un article qui m’a fait rire : Des effets du sucre sur la prise de poids. En fait, ce qui m’a fait rire, c’est surtout la phrase suivante : « Pour les personnes qui ne savent pas comment perdre leurs quelques kilos superflus, de nouvelles recherches enfoncent des portes ouvertes et conseillent de manger moins de sucre. »
- Excellente conférence TED sur le pouvoir des introvertis, par Susan Cain.
- J’ai parlé du passage d’Aran Goyoaga à Montréal, mais sans mentionner qu’elle était aussi dans La Presse et vous pouvez lire un article ici, avec deux recettes en prime.
- Un article sur les mythes du bio, parce que j’en parle souvent en anglais. En gros, ce n’est pas parce qu’un produit est bio qu’il ne contient pas de pesticides, mais il faudrait quand même une appellation pour un produits qui ne contient pas de pesticides dangereux, il me semble…
- Un autre article qui m’a fait rire : le PQ vote contre ses propres compressions. Parce que ça, ça ne s’invente pas! Remarquez, ce n’est pas ce dérapage qui empêche le PQ de faire des compressions budgétaires dans les universités…
- Pour en revenir à Pastagate… À la lumière des problèmes juridiques du Buonanotte, d’autres établissements se sont mis à parler de leurs déboires avec l’OQLF : par exemple, le Caffè in Gamba (et c’est encore de l’italien qu’il s’agit, pas de l’anglais) et la brasserie Holder, en plus de Joe Beef. Bon, là, on va se dire les vraies affaires : oui, le Québec est une province francophone, et oui, il faut protéger notre langue. Tout à fait d’accord avec ça. Mais honnêtement, on s’en crisse-tu de quelle lange est écrite sur les boutons du téléphone, du batteur sur socle ou du micro-ondes, qui de toute façon ne sont pas visibles aux clients? N’est-ce pas mieux de dire « steak » plutôt que « bifteck », que presque personne n’utilise au Québec, d’autant plus que c’est sur une liste d’épicerie rédigée par le chef du restaurant? Pis oui, le terme « W.-C. » était anglais à l’origine, mais non seulement c’est le terme correct en France (donc logique dans une brasserie française), mais en plus, personne ne l’utilise dans les pays anglophones. C’est une expression française comprise des francophones, qui est de plus dans la continuité du thème proposé par l’établissement. Je ne sais pas si les employés de l’OQLF ont un quota d’infractions à remplir ou s’ils sont particulièrement bornés ces temps-ci, mais c’en est devenu absolument ridicule! Au moins, les francophones semblent avoir compris clairement que Pauline Marois n’a rien à voir avec le zèle de l’OQLF, et ceux que je connais n’ont rien contre les anglophones et allophones, mais encore faudrait-il que l’OQLF applique les règlements avec une dose de gros bon sens…
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