Je n’ai rien de nouveau à apporter sur le sujet. On est tous au courant du tremblement de terre et des secousses subséquentes. On sait tous qu’Haïti manque de médicaments, de nourriture, d’aide, de tout. Même les gens qui ont survécu au séisme risquent encore de mourir. Pour faire un don, on préfère les organismes officiels comme la Croix-Rouge ou la Coalition humanitaire.
Ce qui me frustre aussi, c’est la lenteur des gouvernements à réagir après une telle tragédie. Comme on le constate dans cet article de Rima Elkouri, entre autres, il me semble que le ministère de l’Immigration du Canada pourrait se déniaiser et assouplir ses critères, temporairement, vu l’urgence de la situation.
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