Monday, March 23, 2009
Risotto au poulet
J’ai trouvé une recette sur une boîte de riz et j’ai eu un véritable coup de cœur. Mais puisque je déteste par-dessus tout privilégier une marque par rapport à une autre si je n’ai en fait aucune préférence, je ne vous dirai pas de quelle marque de riz il s’agissait, ni quelles modifications j’ai apportées à la recette d’origine. Les photos ne sont pas géniales, mais c’est nettement meilleur que ça en a l’air!
4 demi-poitrines de poulet désossées, sans peau
1 oignon rouge haché (ou 2 s’ils ne sont pas trop gros)
2 gousses d’ail hachées
1 c. à thé de thym ou de romarin frais, haché
1 tasse de riz arborio
3 tasses de bouillon de poulet chaud
1 c. à soupe de vinaigre balsamique
1 ½ tasse de fromage parmesan râpé
2 œufs battus
1 paquet de tomates cerises (ou plus petites)
Dans une casserole, faire chauffer 1 c. à soupe d’huile d’olive extra-vierge à feu moyen. Y faire cuire les poitrines de poulet. Retirer le poulet de la casserole et couper en tranches. Réserver.
Dans la même casserole, faire chauffer 1 c. à soupe d’huile. Ajouter l’oignon, l’ail et les herbes. Faire cuire à feu moyen pendant 4 minutes en remuant sans cesse.
Ajouter le riz et bien mélanger.
Mouiller avec le bouillon de poulet, 1 tasse à la fois, en brassant jusqu’à absorption du bouillon entre chaque addition.
Incorporer le vinaigre. Poursuivre la cuisson jusqu’à ce que le liquide soit absorbé et que le riz soit cuit.
Ajouter les œufs et bien mélanger. Ajouter le parmesan et bien mélanger.
Ajouter le poulet et les tomates et bien mélanger. Servir aussitôt.
Cranberry, Almond and Cinnamon Tart
I first saw this recipe in Martha Stewart Living and it really hasn’t disappointed. This time, though, I made it to use up some walnuts I had left over from a previous recipe, so it was really a cranberry, walnut and cinnamon pie. Also, I substituted strawberry jam for the cranberry jam. I took pictures in the beginning, but then I got distracted and forgot all about visual aids until the tart was done. Don’t worry, though, it’s simple... as pie.
Pâte sucrée
1 ¼ cups all-purpose flour
4 ½ tsp sugar
¼ tsp salt
1 stick cold unsalted butter, cut into small pieces
1 large egg yolk
2 Tbsp ice water
Tart
1 ½ cups cranberries (fresh or frozen and thawed)
½ cup + 1/3 cup sugar
1 Tbsp water
8 oz cranberry jam
10 Tbsp unsalted butter, room temperature
3 large eggs
½ tsp vanilla extract
6 oz (1 ¼ cups) whole almonds, finely ground in a food processor
1 tsp ground cinnamon
¼ tsp salt
For the pâte sucrée
In a food processor, pulse flour, sugar and salt. Add butter and process until mixture resembles coarse meal, about 10 seconds.
Lightly beat egg yolk with ice water. With processor running, add yolk mixture in a slow, steady stream through the feed tube, and process until dough just holds together (no longer than 30 seconds).
Turn out onto a work surface and shape into a disk. Wrap in plastic and refrigerate 30 minutes.
For the tart
Put the cranberries, ½ cup sugar and the water into a saucepan over medium heat and cook, stirring to dissolve sugar, until cranberries have just softened, about 3 minutes. Remove from heat and let cool completely.
Preheat oven to 350 °F.
On a lightly floured work surface, roll out the dough for the pâte sucrée into a 12-inch circle, 1/8- to ¼-inch thick. Transfer to a 9-inch springform pan, pressing crust into bottom and up sides. Trim excess flush with rim.
Prick tart crust all over with a fork. Bake until pale golden, about 30 minutes (don’t hesitate to use pie weights if you have them). Let cool on wire rack.
Raise oven temperature to 375 °F. Spread the jam over the bottom of the tart crust.
Beat butter and remaining 1/3 cup sugar with a mixer on medium-high speed until pale and fluffy, about 3 minutes. Add eggs, one at a time, beating well after each addition. Beat in vanilla. Reduce speed to medium. Slowly add ground almonds, cinnamon and salt, and beat until just combined. Spread mixture over jam-covered crust.
Bake until filling is set and has darkened slightly, about 50 minutes. (If the top of sides darken too quickly, cover them with tin foil.) Let cool on a wire rack for at least 15 minutes. Remove from pan and top with candied cranberries. Serve warm.
Wednesday, March 18, 2009
Sauce à spaghetti
L’Ingénieur n’aime pas le spaghetti. Ce n’est pas une question de goût, bien sûr, puisqu’il aime la plupart des autres pâtes. C’est plutôt une question de forme. Il aime piquer sa fourchette dans les pâtes et ainsi se constituer une bouchée. Il aime donc les pennes et les raviolis, par exemple. Mais on ne peut pas manger les spaghettis en piquant dedans, alors il n’aime pas ça. J’ai trouvé cela bizarre, parce que dans ma famille, le spaghetti, c’est un plat traditionnel que tout le monde aime, surtout les enfants. Et je ne peux pas m’imaginer élever des enfants sans leur faire du spaghetti. J’ai donc décidé de faire la recette de sauce à spaghetti de ma grand-mère, pour faire goûter à mon mari les meilleurs spaghettis possible. Conclusion : l’Ingénieur aime la sauce, mais il doit se forcer pour manger les spaghettis. Alors quand on aura des enfants, je ferai quand même du spaghetti avec la bonne sauce, et l’Ingénieur aura des pennes avec la même sauce.
Voici la recette. Vous constaterez que les quantités sont loin d’être précises et laissent place à l’improvisation. Vous pourriez ajouter aussi des carottes ou des champignons, mais je pense qu’alors, il faudrait soit diminuer la quantité de viande, soit augmenter la quantité de tomates. De plus, sachez que les tomates se défont assez bien en cuisant, mais vous pourriez les couper en morceaux avant de les ajouter à la sauce si vous voulez. Et n’hésitez pas à ajouter quelques feuilles de laurier ainsi que des herbes à votre goût (origan, thym, basilic, etc.).
1 ½ lb de bœuf haché
un peu d’huile
1 ou 2 branches de céleri haché fin
6 à 8 petits oignons hachés (j’en ai pris un gros et un moyen)
2 gousses d’ail haché
13 oz de pâte de tomate (environ)
2 grosses boîtes de tomates
1 c. à thé de poivre de Cayenne
1 c. à thé de sucre
set et poivre
Réchauffer l’huile dans un grand chaudron et y faire cuire la viande.
Ajouter les autres ingrédients et mélanger.
Laisser mijoter (à feu doux) 2 ½ ou 3 heures.
Et voilà! Puisque ça en fait beaucoup, je congèle toujours les restes pour un autre souper.
Tuesday, March 17, 2009
Trouver chaussure à son pied
Jusqu'à maintenant, j'ai surtout parlé de cuisine, c’est vrai. Cependant, je vais un peu changer de sujet aujourd’hui. Alors je l’annonce pour ceux et celles qui ne me connaissent pas assez pour le savoir : j’ai d’énormes difficultés à me trouver des chaussures. Mais alors là, vraiment énormes. Pour vous dire, ça faisait trois ans que je me cherchais des escarpins et deux ans pour les sandales et les bottes, sans rien trouver de convenable (et forcée d’acheter n’importe quoi plutôt que de me retrouver en souliers de course à une réception chic ou en sandales à talon bobine en hiver). Si ça ne vous intéresse pas de lire ma tranche de vie, allez tout de suite au dernier paragraphe!
Le problème majeur : mes pieds, apparemment. Tout d’abord, je chausse du 10. Ce n’est pas anormalement grand, et c’est d’ailleurs tout à fait proportionnel à ma taille. Mais c’est plus grand que la moyenne, j’en conviens, et bien des magasins de chaussures n’offrent pas (ou très peu) de chaussures à cette taille. Sans compter ceux comme Aldo, où le « 10 » est souvent un 9 normal! De plus, autre problème, j’ai la peau très sensible et j’ai des ampoules pour un rien. Une fois, je me suis même fait une ampoule dans le magasin, juste à essayer des chaussures quelques minutes! Et puis avouons-le, depuis un an, je ne voyais pas grand-chose à mon goût dans les magasins.
Voilà que ça a changé. Après avoir travaillé sept jours sur sept pendant trois semaines, je décide de prendre vendredi de congé pour aller magasiner à Place Versailles (alors que j’habite Côte-des-Neiges). Mais c’est à Place Versailles que j’avais trouvé les chaussures pour mon mariage, chez Feet First. Oui, il y a d’autres succursales du magasin plus près de chez moi, mais je n’y avais rien vu récemment. Et j’avais déjà épluché le centre-ville et le Plateau sans rien acheter. Là, puisque je viens d’apprendre que j’ai deux événements en juin et un en octobre, je voulais absolument me trouver des escarpins et quelque chose à mettre avec ma jupe brune. Alors, prise d’une inspiration soudaine, je m’arrange pour prendre le vendredi de congé et filer à Place Versailles, en espérant y trouver mon bonheur de nouveau. Et la chance m’a souri!
Tout d’abord, je suis entrée chez Payless. C’est là que j’achète 90 % de mes chaussures, non seulement à cause des prix abordables (la qualité n’en souffre habituellement pas, en plus), mais aussi parce que je peux essayer à ma guise toute une série de chaussures de ma grandeur. Et c’est vrai qu’il n’y avait rien à mon goût depuis longtemps, mais j’ai enfin trouvé des escarpins. Tout ce que je voulais, c’était une paire d’escarpins noirs, à bout rond et à talon bobine. Ça a l’air simple comme tout, non? Oui, mais il y en avait peu dans les magasins (allez savoir pourquoi, il me semble que c’est très classique!), et les rares escarpins que je voyais ne me faisaient pas. Toujours est-il que j’en ai déniché une paire chez Payless, exactement 30 secondes avant qu’une autre dame les remarque à mes pieds et peste parce que c’était la dernière paire. Tant pis, madame, ça fait trois ans que je les cherche, et ils sont à moi! Bon, je risque d’avoir une ampoule sur le pied droit, ce sera vraiment à porter pour quelques heures seulement, mais à part ça, ils sont parfaits.
Ensuite, j’entre chez Feet First. À force de regarder, je vois une belle paire de sandales brunes, ce que je cherche depuis deux ans. Il s’agit de Hush Puppies. Je me rappelle avoir emprunté une paire de sandales Hush Puppies de mon amie Natasha (ce n’est pas son vrai nom, mais elle se reconnaîtra!) il y a des années, et elles étaient très confortables. Je décide donc d’essayer celles que j’ai sous les yeux, même si elles sont plus chères que ce que je paie habituellement (mais quand même en restant juste en dessous de la barre psychologique du 100 $). L’aimable vendeuse me dit qu’il n’en reste plus dans le magasin en 10, mais qu’elle en a du même modèle en noir. Elle me fait aussi essayer les 9 et les 9 ½ en brun (mais elles sont trop courtes). Et voici où le magasin m’a vraiment impressionnée : j’ai pu acheter les sandales brunes en 10 et les faire livrer chez moi, sans aucuns frais supplémentaires! La vendeuse m’avait dit qu’il faudrait ente 3 et 6 jours ouvrables, mais le colis est arrivé aujourd’hui, mardi (donc en 2 jours ouvrables).
Tout ça pour dire que je suis entièrement satisfaite de Feet First! J’espère que le magasin va continuer à offrir de belles chaussures dans toutes les tailles, avec un service exceptionnel en plus. Et aussi, message aux autres fabricants de chaussures : faites donc des chaussures pour tout le monde! Ce n’est pas parce que nos pieds sont plus petits ou plus grands que la moyenne que nous avons moins besoin de chaussures que les autres, bordel! Je cherche toujours mes bottes…
Le problème majeur : mes pieds, apparemment. Tout d’abord, je chausse du 10. Ce n’est pas anormalement grand, et c’est d’ailleurs tout à fait proportionnel à ma taille. Mais c’est plus grand que la moyenne, j’en conviens, et bien des magasins de chaussures n’offrent pas (ou très peu) de chaussures à cette taille. Sans compter ceux comme Aldo, où le « 10 » est souvent un 9 normal! De plus, autre problème, j’ai la peau très sensible et j’ai des ampoules pour un rien. Une fois, je me suis même fait une ampoule dans le magasin, juste à essayer des chaussures quelques minutes! Et puis avouons-le, depuis un an, je ne voyais pas grand-chose à mon goût dans les magasins.
Voilà que ça a changé. Après avoir travaillé sept jours sur sept pendant trois semaines, je décide de prendre vendredi de congé pour aller magasiner à Place Versailles (alors que j’habite Côte-des-Neiges). Mais c’est à Place Versailles que j’avais trouvé les chaussures pour mon mariage, chez Feet First. Oui, il y a d’autres succursales du magasin plus près de chez moi, mais je n’y avais rien vu récemment. Et j’avais déjà épluché le centre-ville et le Plateau sans rien acheter. Là, puisque je viens d’apprendre que j’ai deux événements en juin et un en octobre, je voulais absolument me trouver des escarpins et quelque chose à mettre avec ma jupe brune. Alors, prise d’une inspiration soudaine, je m’arrange pour prendre le vendredi de congé et filer à Place Versailles, en espérant y trouver mon bonheur de nouveau. Et la chance m’a souri!
Tout d’abord, je suis entrée chez Payless. C’est là que j’achète 90 % de mes chaussures, non seulement à cause des prix abordables (la qualité n’en souffre habituellement pas, en plus), mais aussi parce que je peux essayer à ma guise toute une série de chaussures de ma grandeur. Et c’est vrai qu’il n’y avait rien à mon goût depuis longtemps, mais j’ai enfin trouvé des escarpins. Tout ce que je voulais, c’était une paire d’escarpins noirs, à bout rond et à talon bobine. Ça a l’air simple comme tout, non? Oui, mais il y en avait peu dans les magasins (allez savoir pourquoi, il me semble que c’est très classique!), et les rares escarpins que je voyais ne me faisaient pas. Toujours est-il que j’en ai déniché une paire chez Payless, exactement 30 secondes avant qu’une autre dame les remarque à mes pieds et peste parce que c’était la dernière paire. Tant pis, madame, ça fait trois ans que je les cherche, et ils sont à moi! Bon, je risque d’avoir une ampoule sur le pied droit, ce sera vraiment à porter pour quelques heures seulement, mais à part ça, ils sont parfaits.
Ensuite, j’entre chez Feet First. À force de regarder, je vois une belle paire de sandales brunes, ce que je cherche depuis deux ans. Il s’agit de Hush Puppies. Je me rappelle avoir emprunté une paire de sandales Hush Puppies de mon amie Natasha (ce n’est pas son vrai nom, mais elle se reconnaîtra!) il y a des années, et elles étaient très confortables. Je décide donc d’essayer celles que j’ai sous les yeux, même si elles sont plus chères que ce que je paie habituellement (mais quand même en restant juste en dessous de la barre psychologique du 100 $). L’aimable vendeuse me dit qu’il n’en reste plus dans le magasin en 10, mais qu’elle en a du même modèle en noir. Elle me fait aussi essayer les 9 et les 9 ½ en brun (mais elles sont trop courtes). Et voici où le magasin m’a vraiment impressionnée : j’ai pu acheter les sandales brunes en 10 et les faire livrer chez moi, sans aucuns frais supplémentaires! La vendeuse m’avait dit qu’il faudrait ente 3 et 6 jours ouvrables, mais le colis est arrivé aujourd’hui, mardi (donc en 2 jours ouvrables).
Tout ça pour dire que je suis entièrement satisfaite de Feet First! J’espère que le magasin va continuer à offrir de belles chaussures dans toutes les tailles, avec un service exceptionnel en plus. Et aussi, message aux autres fabricants de chaussures : faites donc des chaussures pour tout le monde! Ce n’est pas parce que nos pieds sont plus petits ou plus grands que la moyenne que nous avons moins besoin de chaussures que les autres, bordel! Je cherche toujours mes bottes…
Friday, March 13, 2009
Morello Cherries
Today’s rave: Morello cherry extra jam preserve, from Fortnum & Mason in London. First of all, Fortnum & Mason is a store where I could literally spend an hour window shopping on the ground floor. They have a wonderful assortment of jams, preserves, marmalades, jellies, teas, cookies, etc. It’s a shame we don’t have anything comparable on this side of the Atlantic. The best jams here are usually imported from Europe, and even then, we don’t have nearly as good a selection as Europeans do. Some local artisanal stores make good jams here, sure, but there’s nothing that compares to the sheer size, location and choice at Fortnum & Mason.
So this Morello cherry preserve was kindly given to me by my neighbour, whose plants I had watered when she was out of town. The tag on the jar says “Handmade in England from the tartest cherries. Good on hot, buttery toast and superb with roast duck.” My first thought was “How come we don’t have amazing descriptions like that on Canadian products?” And my second thought was “I have to add duck breast to the grocery list”. So I did, and we had some of the preserve with roasted duck. It was amazing. Orgasmic, even. Roast duck in and of itself is probably my favourite meal, but these cherries set the bar really high now. I love them!
Luckily, as I was looking at Fortnum & Mason’s website just now, I realized that they can ship their products to Canada and the U.S.! It’s probably going to be expensive, of course, but I’m keeping that in mind.
Basic Brownies
Like many bakers, I have several brownie recipes. Some are “special” (like the brownies with fresh ginger, Jessica Seinfeld’s brownies made with carrots and spinach or Ricardo’s brownies that use a whole jar of Nutella). So you’ll hear about different kinds of brownies here over time. But today, I figured I’d give you my basic brownie recipe – the easy one I make when I just crave chocolate, with no frills.
2 cups granulated sugar
1 cup unsweetened cocoa powder
1 cup all-purpose flour
½ cup melted butter or margarine
4 eggs
1 tsp vanilla
Preheat oven to 325 °F. Grease an 8-inch square cake pan.
In a mixing bowl, stir together sugar, cocoa and flour. Blend in butter. Mix in eggs and vanilla (mixture will be stiff).
Spread evenly in the pan and bake for about 60 minutes, or until shiny on top and batter has pulled away slightly from the edges of the pan. Let cool.
If you want, you can sprinkle icing sugar on the top, but then you’re dangerously close to brownies with “frills”, which wasn’t the point. Also, the Engineer and I personally don’t believe in adding nuts to brownies, but if you want some, you can add them in the batter. Enjoy!
2 cups granulated sugar
1 cup unsweetened cocoa powder
1 cup all-purpose flour
½ cup melted butter or margarine
4 eggs
1 tsp vanilla
Preheat oven to 325 °F. Grease an 8-inch square cake pan.
In a mixing bowl, stir together sugar, cocoa and flour. Blend in butter. Mix in eggs and vanilla (mixture will be stiff).
Spread evenly in the pan and bake for about 60 minutes, or until shiny on top and batter has pulled away slightly from the edges of the pan. Let cool.
If you want, you can sprinkle icing sugar on the top, but then you’re dangerously close to brownies with “frills”, which wasn’t the point. Also, the Engineer and I personally don’t believe in adding nuts to brownies, but if you want some, you can add them in the batter. Enjoy!
Wednesday, March 11, 2009
Cardamom Crumb Cake
I got this recipe from Rosa and, as you probably guessed, I’ve changed it a bit!
Crumbs
½ cup all-purpose flour
½ cup coarsely chopped walnuts or pecans
1/3 cup sugar
1 Tbsp grated orange zest
½ tsp instant coffee powder
½ tsp ground cardamom
¼ cup unsalted butter or margarine, cut into small pieces, at room temperature
Cake
2 cups all-purpose flour
2 tsp baking powder
½ tsp salt
1 ¼ tsp ground cardamom
1 tsp instant coffee powder
2/3 cup sugar
2 Tbsp finely grated (or chopped) orange zest
½ cup unsalted butter or margarine, melted and cooled
2 large eggs
½ cup milk
½ cup coffee, cooled
½ tsp vanilla
For the Crumbs
Put all the ingredients except the butter in a bowl and toss them to blend. Add the butter and, using your fingers or a spatula, mix together until you have crumbs of various sizes. Set aside.
For the Cake
Center a rack in the oven and preheat it to 400 °F. Grease an 8-inch square pan and dust with flour.
In a large bowl, whisk together the flour, baking powder, salt, cardamom and coffee powder.
In a small bowl, mix the sugar and the orange zest together with your fingers, until the sugar is moist and the smell of orange is strong. Blend into the dry ingredients.
Put the butter, eggs, milk, coffee and vanilla in medium bowl and mix to blend.
Pour the wet ingredients over the dry ones and stir with a wooden spoon to blend until the batter is evenly moist.
Spread the batter evenly into the prepared pan and top with a thick, even layer of crumbs. Gently pat the crumbs into place.
Bake for 30-35 minutes, until the cake has risen (it will crown), the crumbs are golden and a knife inserted in the center comes out clean. Transfer to a rack to cool.
Ménage et printemps
Comme il faut beau aujourd’hui! Le printemps est dans l’air, ce qui me donne vraiment hâte au temps plus doux. Bon, je sais que ce ne durera pas (il fait 8 °C aujourd’hui, mais il fera -8 °C demain, donc l’hiver n’est pas fini). Quand même, maintenant qu’on a changé l’heure, je trouve ça génial qu’il fasse clair plus tard le soir. Je sais que c’est tout à fait artificiel et que les jours n’ont pas allongé tout d’un coup, mais ça s’en vient.
Aujourd’hui, le beau temps me donne l’occasion d’ouvrir mes fenêtres pour faire aérer l’appartement (sans faire geler mes plantes). Je peux évacuer la fumée de cigarette de mon voisin du dessous, qui s’est remis à fumer il y a six mois et dont la fumée s’infiltre dans ma cuisine (c’est horrible, mais je peux mal l’empêcher de fumer chez lui!). Ça me dérange vraiment, d’autant plus que l’odeur reste souvent prise dans mes armoires sous le comptoir, avec mes casseroles. J’ai tellement hâte d’avoir une maison et personne de l’autre côté du mur! Sans doute d’ici un an ou deux…
Maintenant que j’ai quelques heures de répit sans travail, j’ai fait le ménage dans les recettes que je veux afficher sur ce blogue. J’ai deux desserts qui s’en viennent, mais avant, je vais vous résumer une recette de poulet. Je ne vous donne pas vraiment la recette, pour la simple et bonne raison qu’elle aurait besoin d’être modifiée et que je n’ai pas le temps de m’amuser à la refaire jusqu’à la perfection.
Il s’agit d’une casserole de poulet et de légumes braisés. Je l’avais suivie à la lettre, en me disant que les portions supplémentaires pourraient être congelées. Mais même les proportions de la recette étaient douteuses, alors… En tout cas, j’ai commencé par couper mes légumes en petits morceaux. J’ai utilisé l’ail qui me restait, puis j’ai fait la même chose avec l’oignon et les échalotes françaises.
J’ai ajouté des patates, du céleri, des carottes et des patates douces (vous pourriez mettre aussi du panais ou du navet).
J’ai fait rôtir le tout au four avec de l’huile d’olive pendant que j’assaisonnais mon poulet (avec mon restant d’herbes de Provence) et que je le dorais à la poêle, avant de l’envoyer rejoindre mes légumes ensuite, avec de la moutarde, un fond de bouteille de vin blanc et mon restant de bouillon de poulet. Vous en aurez conclu que cette recette m’arrangeait en partie parce qu’elle me permettait de faire un peu de ménage dans mon garde-manger!
Conclusion, les patates douces devraient être mises au four en même temps que les autres légumes, et il ne faut pas mettre trop de bouillon. Pour deux heures de travail, c’était en fait assez décevant. Mais je ne devrais pas trop me plaindre, car j’ai quand même eu la chance de trouver une recette qui me permettait d’utiliser plein de restants d’ingrédients!
Quand même, la recette était censée donner 6 portions dans une rôtissoire, alors que nous avons diminué certaines quantités pour nous retrouver avec huit portions dans deux rôtissoires! Nous avons mangé deux portions le premier soir. J’en ai mis quatre à congeler. Puis pour dîner le jour suivant, j’ai mangé un gros plat de légumes, ce qui m’a permis d’utiliser le poulet ce soir-là pour faire des « hot chicken » (des sandwichs de poulet chauds et recouverts de sauce brune), grâce à la suggestion géniale de l’Ingénieur. C’était nettement meilleur que la recette que j’avais essayée et ça m’a permis en même temps de finir mes patates rôties et mes petits pois congelés. Je me demande même pourquoi je n’avais jamais pensé à en faire avant ce soir-là!
Aujourd’hui, le beau temps me donne l’occasion d’ouvrir mes fenêtres pour faire aérer l’appartement (sans faire geler mes plantes). Je peux évacuer la fumée de cigarette de mon voisin du dessous, qui s’est remis à fumer il y a six mois et dont la fumée s’infiltre dans ma cuisine (c’est horrible, mais je peux mal l’empêcher de fumer chez lui!). Ça me dérange vraiment, d’autant plus que l’odeur reste souvent prise dans mes armoires sous le comptoir, avec mes casseroles. J’ai tellement hâte d’avoir une maison et personne de l’autre côté du mur! Sans doute d’ici un an ou deux…
Maintenant que j’ai quelques heures de répit sans travail, j’ai fait le ménage dans les recettes que je veux afficher sur ce blogue. J’ai deux desserts qui s’en viennent, mais avant, je vais vous résumer une recette de poulet. Je ne vous donne pas vraiment la recette, pour la simple et bonne raison qu’elle aurait besoin d’être modifiée et que je n’ai pas le temps de m’amuser à la refaire jusqu’à la perfection.
Il s’agit d’une casserole de poulet et de légumes braisés. Je l’avais suivie à la lettre, en me disant que les portions supplémentaires pourraient être congelées. Mais même les proportions de la recette étaient douteuses, alors… En tout cas, j’ai commencé par couper mes légumes en petits morceaux. J’ai utilisé l’ail qui me restait, puis j’ai fait la même chose avec l’oignon et les échalotes françaises.
J’ai ajouté des patates, du céleri, des carottes et des patates douces (vous pourriez mettre aussi du panais ou du navet).
J’ai fait rôtir le tout au four avec de l’huile d’olive pendant que j’assaisonnais mon poulet (avec mon restant d’herbes de Provence) et que je le dorais à la poêle, avant de l’envoyer rejoindre mes légumes ensuite, avec de la moutarde, un fond de bouteille de vin blanc et mon restant de bouillon de poulet. Vous en aurez conclu que cette recette m’arrangeait en partie parce qu’elle me permettait de faire un peu de ménage dans mon garde-manger!
Conclusion, les patates douces devraient être mises au four en même temps que les autres légumes, et il ne faut pas mettre trop de bouillon. Pour deux heures de travail, c’était en fait assez décevant. Mais je ne devrais pas trop me plaindre, car j’ai quand même eu la chance de trouver une recette qui me permettait d’utiliser plein de restants d’ingrédients!
Quand même, la recette était censée donner 6 portions dans une rôtissoire, alors que nous avons diminué certaines quantités pour nous retrouver avec huit portions dans deux rôtissoires! Nous avons mangé deux portions le premier soir. J’en ai mis quatre à congeler. Puis pour dîner le jour suivant, j’ai mangé un gros plat de légumes, ce qui m’a permis d’utiliser le poulet ce soir-là pour faire des « hot chicken » (des sandwichs de poulet chauds et recouverts de sauce brune), grâce à la suggestion géniale de l’Ingénieur. C’était nettement meilleur que la recette que j’avais essayée et ça m’a permis en même temps de finir mes patates rôties et mes petits pois congelés. Je me demande même pourquoi je n’avais jamais pensé à en faire avant ce soir-là!
Sunday, March 08, 2009
Gâteau au romarin et à l’huile d’olive
Il s’agit d’une recette de Graziella Battista, chef du restaurant Graziella, que j’ai modifié un tantinet. La recette a été publiée dans le premier numéro de Maison & Demeure. J’ai utilisé de l’huile d’olive qui m’avait été offerte par mes amis R. et J., parce qu’il s’agissait d’huile de qualité (Villa Bisini Gambetti) et que le goût de l’huile est important dans ce délicieux gâteau.
1 ½ tasse de farine tout usage
1 c. à soupe de poudre à pâte
½ c. à thé de sel
4 œufs
¾ tasse de sucre
2/3 tasse d’huile d’olive extra vierge
2 c. à soupe de romarin frais haché
Préchauffer le four à 320 °F. Beurrer un moule à pain rectangulaire.
Mélanger la farine, la poudre à pâte et le sel. Réserver.
Battre les œufs au fouet électrique jusqu’à l’obtention d’une consistance mousseuse.
Ajouter le sucre. Fouetter à haute vitesse jusqu’à ce que l’appareil soit de couleur jaune pâle, qu’il ait triplé de volume et qu’il tombe du fouet en un ruban épais.
Réduire la vitesse et incorporer l’huile d’olive et le romarin.
Verser les ingrédients secs dans le mélange humide et mélanger juste assez pour humecter.
Verser l’appareil dans le moule. Cuire 45 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré en son centre en ressorte propre. Attendre 5 minutes pour démouler sur une grille, puis laisser refroidir. Si désiré, servir avec une compote de pommes et de la crème fouettée.
Monday, March 02, 2009
Cheveux blancs
Ça y est, c'est décidé. J'arrête de m'arracher les cheveux blancs.
J'ai eu mon premier cheveu blanc à 17 ans. Après ça, j'en ai eu de façon sporadique pendant environ huit ans. C'est devenu de plus en plus fréquent ensuite, surtout au cours de la dernière année, où je m'en trouvais de nouveaux presque chaque semaine. Encore, quand un cheveu blanc pousse sur le dessus de la tête et près du front, il est facile à enlever. Mais pour ceux qui poussent ailleurs (comme au fond de la tête, sur le côté ou derrière), c'est très difficile. Et là, j'en ai tellement qui poussent ailleurs que j'ai décidé d'abdiquer. J'ai 28 ans (pour ceux qui comptent ça).
Ce n'est pas vraiment le fait d'avoir des cheveux blancs qui me dérange. En fait, j'ai presque hâte d'avoir TOUS les cheveux blancs (je trouve ça tellement beau quand je vois une femme, vieille ou pas, qui a de tels cheveux!). Ce qui m'insécurise plus, c'est l'étape de transition, qui pourrait durer des dizaines d'années. Peut-être que ça m'insécurise parce que je ne veux pas avoir l'air trop vieille alors que je me sens encore très jeune. Peut-être que c'est juste parce que je ne sais pas de quoi j'aurais l'air. Il me semble que j'aimerais ça si j'avais des mèches blanches. Mais des cheveux blancs par-ci, par-là, isolés sur ma tête, on dirait que ça me tente moins. Par contre, pas question que je me mette à la teinture, sinon j'en ai pour le reste de ma vie à combattre la repousse!
Alors voilà, on verra bien combien de temps ça met à paraître, et encore là, ça risque de prendre du temps avant que les autres remarquent mes cheveux blancs autant que moi. En tout cas, j'ai hâte au jour de fête quand l'Ingénieur aura son premier cheveu blanc! Je ne serai plus seule! :)
*Mise à jour, quelques heures plus tard. Par pure coïncidence, un article est paru aujourd'hui sur la cause des cheveux blancs (merci à l'Ingénieur pour la référence!).*
J'ai eu mon premier cheveu blanc à 17 ans. Après ça, j'en ai eu de façon sporadique pendant environ huit ans. C'est devenu de plus en plus fréquent ensuite, surtout au cours de la dernière année, où je m'en trouvais de nouveaux presque chaque semaine. Encore, quand un cheveu blanc pousse sur le dessus de la tête et près du front, il est facile à enlever. Mais pour ceux qui poussent ailleurs (comme au fond de la tête, sur le côté ou derrière), c'est très difficile. Et là, j'en ai tellement qui poussent ailleurs que j'ai décidé d'abdiquer. J'ai 28 ans (pour ceux qui comptent ça).
Ce n'est pas vraiment le fait d'avoir des cheveux blancs qui me dérange. En fait, j'ai presque hâte d'avoir TOUS les cheveux blancs (je trouve ça tellement beau quand je vois une femme, vieille ou pas, qui a de tels cheveux!). Ce qui m'insécurise plus, c'est l'étape de transition, qui pourrait durer des dizaines d'années. Peut-être que ça m'insécurise parce que je ne veux pas avoir l'air trop vieille alors que je me sens encore très jeune. Peut-être que c'est juste parce que je ne sais pas de quoi j'aurais l'air. Il me semble que j'aimerais ça si j'avais des mèches blanches. Mais des cheveux blancs par-ci, par-là, isolés sur ma tête, on dirait que ça me tente moins. Par contre, pas question que je me mette à la teinture, sinon j'en ai pour le reste de ma vie à combattre la repousse!
Alors voilà, on verra bien combien de temps ça met à paraître, et encore là, ça risque de prendre du temps avant que les autres remarquent mes cheveux blancs autant que moi. En tout cas, j'ai hâte au jour de fête quand l'Ingénieur aura son premier cheveu blanc! Je ne serai plus seule! :)
*Mise à jour, quelques heures plus tard. Par pure coïncidence, un article est paru aujourd'hui sur la cause des cheveux blancs (merci à l'Ingénieur pour la référence!).*
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